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Девичья игрушка, или Сочинения господина Баркова - Барков Иван Семенович - Страница 65


65
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Миликриса

(с плачем)

Нещастнейший Фарнос, я и тебя лишилась!

Долгомуд

Лишился друга я, и часть его свершилась.

Миликриса

О день, горчайший день, источник лютых бед, Князь вечно погублен, Фарноса больше нет! Пожри всей лютостью меня живую, бездна! Рази, губи: мне жизнь без ебли бесполезна!

Конец трагедии

Дополнения

A. Piron. Ode a Priape *

Foutre des neuf garce de Pinde Foutre de l'amant de Daphne Dont le flasque vit ne se guinde Qu'a force d'etre patine; Cest toi que j'invoque a mon aide, Toi qui dans les cons, d'un vit roide, Lance le foutre a gros bouillous; Priape, soutiens mon haleine Et pour un moment dans ma veine Porte le feu de tes couillous. Que tont bande, que tont s'embrasse Accourez Putins et Ribauds Que vois-je, ou suis-je, la douce extase Les Cieux n'ont pas Pobjet si beaux. Des couilles en bloc arrondies Des cuisses fermes et bondies Des bataillons de vits bandes Des culs rondes sans poils et sans crottes Des cons, des tettones et des mottes D'un torrent des foutres inondes. Restez adorables images, Restez a jamais sous mes yeux Soyez l'objet de mes hommages Mes Legislateurs et mes Dieux, Qu'a Priape on eleve un Temple u jour et nuit Ton vous contemple, Au gre des vigoreux Fouteurs Le foutre у servira d'offrandes Les poiles de couilles de guirlandes Les vits de sarificateurs Aigle, Baleine, Dromadaire, Insecte, animal, homme, tout Dans les Cieux, sous Геаи, sur la terre, Tous nous annonce q'on fout; L'on foutre tombe comme grele, Raisonnable ou non, tout s'en mele Le con met tout les vits en rut; Le con du bonheur est la voie Dans con git tout la Joie Mais hors de con point de salut. Quoique plus gueux qu'un Rat d'Eglise Pourvu que mes couillous soient chauds Et que le poil de mon cul frise Je me fut du reste en repos. Grandes de terre on se trompe Si Ton croit que de votre pompe Jamais je puisse etre jaloux Faites grands bruit, vives au large Quand j'enconne et que je decharge Ai-je moins plaisir que vous. Que Tor, que l'honneur vous chatouille Sots avares, vains conquerans Vivent les plaisirs de la couille Et foutre les biens et les rangs. Achilles aux rives du Scamandre Pille, detruit, met tout en cendres Cest n'est que feu, que sang, qu'horreur, Un con paroit, passe-t-il outre? Non, je vois bander mon jean-foutre Le heros n'est plus qu'un Fouteur De Fout la fable fourmille Le Soleil fout Leucothoe Cynire fout sa propre fille Un Taureau fout Pasiphae Pygmalion fout la statue Le brave Ixion fout la nue On ne voit que foutre couler Le beau Narcisse pale et bleme Brulant de se foutre lui-meme Meurt en tachant de s'enculer. Socrate, dires-vous: се sage Dont on vante l'esprit divin Socrate a vomi peste et rage Contre le sexe feminin Mais pour cela le bon Apotre N'en n'a pas moins foutu qu'un autre Intrepretons miens ses lemons, Contre le sexe il persuade, Mais sans le cul d'Alcibiade Il n'eut pas tant medit des cons. Mais voyons ce brave Cynique, Qu'un bougre a mis an rang des chiens Se branler gravement la pique A la barbe des Atheniens Rien ne l'emeut, rien ne l'etonne L'eclair brille Jupiter tonne Son vit n'en est point demonte Contre le Ciel sa tete altiere Au bout d'une courte carriere Decharge avec tranquilite Cependant Jupin dans l'Olympe Perce des culs, boure des cons, Neptune au fond des eaux у grimpe Nymphes, Syrenes et Tritons; L'ardent fouter de Proserpine, Semble dans sa couille divine Avoir tout le feu d'enfers Amis, jouons les memes farces, Foutons tant que les cons des Garces Nous foute enfin Tame a l'envers. Tysiphone, Alecto, Megere Si Ton foutoit encore chez vous Vous Parques, Charon et Cerbere De mon vit vous tatierez tout. Mait puisque par un sort barbare On ne bande plus au Tenare, Je veux у descendre en foutant, La mon plus grand tourment sans doute Sera de voir que Pluton foute Et de ne pouvoir faire autant Redouble done tes infortunes Sort, foutu fort, plein de rigeur C'est n'est qu'a des ames communes A qui tu peux foutre malheurs. Mais la mienne que rien n'alarme Plus ferme que le vit d'un carme Se rit des maus present, passe Qu'on m'abhorre, qu'on me deteste Que m'importe, mon vit me reste Je bande, je fous, c'est assez.
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